(Publié sur mon compte FB le 7 octobre dernier).
C’est un livre qui vient de nous être offert. (1000 mercis à nos amis).
C’est un premier roman d’un journaliste du quotidien breton, Le Télégramme. Il est écrit sans ponctuations à l’exception des points de fin de phrase et dans une langue « volcanique » selon le commentaire de la 4ème de couverture. Je la comparerais, cette langue, cette écriture, à un étonnant cocktail composé de grumeaux baignant dans un bouillon aux saveurs aigres-douces diffusant des odeurs tour à tour insupportables et délicates (peut-être aussi à une eau-de-vie dans laquelle seraient immergées des choses étranges).
Le narrateur est ce que la presse à sensations qualifierait de « monstre ». Il écrit depuis la cellule de sa prison. Il écrit sur cette vie qui est la sienne et qui a choisi pour lui de le faire naître de parents monstrueux.
Selon une formule qui, ici, prend pleinement son sens : on ne sort pas indemne de cette lecture. C’est un livre incroyable, d’une force « volcanique » (pour reprendre le terme du commentaire), avec des instants de grâce immenses et des passages sordides.
C’est un premier roman d’un journaliste du quotidien breton, Le Télégramme. Il est écrit sans ponctuations à l’exception des points de fin de phrase et dans une langue « volcanique » selon le commentaire de la 4ème de couverture. Je la comparerais, cette langue, cette écriture, à un étonnant cocktail composé de grumeaux baignant dans un bouillon aux saveurs aigres-douces diffusant des odeurs tour à tour insupportables et délicates (peut-être aussi à une eau-de-vie dans laquelle seraient immergées des choses étranges).
Le narrateur est ce que la presse à sensations qualifierait de « monstre ». Il écrit depuis la cellule de sa prison. Il écrit sur cette vie qui est la sienne et qui a choisi pour lui de le faire naître de parents monstrueux.
Selon une formule qui, ici, prend pleinement son sens : on ne sort pas indemne de cette lecture. C’est un livre incroyable, d’une force « volcanique » (pour reprendre le terme du commentaire), avec des instants de grâce immenses et des passages sordides.
« La Colline aux Loups c’était déjà une prison bien pire que tout imaginez-vous sous l’eau depuis le jour de votre naissance à retenir votre respiration en attendant une bouffée d’air qui ne vient pas ma vie c’est ça. »
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