jeudi 18 mars 2010

Il n'y a pas que des noix à Grenoble !


La preuve : une vespasienne totalement "improbable" (adjectif en passe de détrôner "hallucinant"), hantée par les fantômes des croûtonnards, et une des trois tours à la plastique savante de Roger Anger, architecte des trente glorieuses, dont l'égarement à Auroville fut probablement fatal à sa postérité.

2 commentaires:

  1. Finalement le libéralisme ça a commencé par la privatisation des pissotières, pardon des vespasiennes, et je ne me souviens pas qu'il y ait eu des manifs.
    Ensuite il y a eu l'eau, à Grenoble par exemple, n'est-ce pas M. Carignon ?
    Maintenant on s'attaque à La Poste, à la SNCF, au gaz et à l'électricité... mais il est trop tard !

    RépondreSupprimer
  2. La lutta continua, Gérard. Il n'est jamais trop tard ! Barre à gauche toute, sans état d'âme !

    RépondreSupprimer