Dans l’entretien publié ce matin dans « Le Monde » de la climatologue Pascale Braconnot traitant de la nécessité d’un lien plus étroit entre la communauté scientifique et la société, outre le fait que tout un chacun, responsable, aide à crédibiliser et rendre intelligible le discours scientifique, j’ai retenu une phrase que j’ai « servi », il y a déjà de nombreuses années à mes amis « ingenieurs-spécialistes » en leur parlant de l’évolution de leur métier : « Cela réclame d’être à la fois pointu dans son domaine, car on ne peut se permettre aucune erreur quand on est en première ligne, mais aussi d’être multidisciplinaire pour pouvoir répondre à des questions différentes sur la transition. »
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire