"Il faut partir maintenant que je pourrai vivre tranquille ! Quitter mon art maintenant que n'étant plus esclave de la mode, n'étant plus enchaîné par des spéculateurs, je pourrais suivre les impulsions de mes inspirations, et écrire avec indépendance ce que me dicte mon coeur."
Dernières paroles de Mozart que je graverais volontier sur ma pierre tombale si je ne redoutais que l'un quelconque des passants égarés dans mon cimetière marin cède à la facilité d'imaginer un instant que j'ai pu me comparer une seule seconde à ce génie.
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RépondreSupprimerJe suis quasi-certain que la vie tranquille ne permet pas d'exprimer son originalité, voire son génie. Donc mieux vaut partir vers d'autres horizons, quels qu'ils soient !
RépondreSupprimerIl y a aussi des horizons qui sont dans la tête, et d'autres dans des livres... bien sûr il y a les horizons où le soleil se couche, mais qui sont parfois aussi des mirages, et comme tout horizon : inaccessibles.
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