Il y a quelques jours disparaissait le comédien Laurent Terzieff. "Le Monde", dans son édition du 6 juillet, reprenait une série d'extraits d'entretiens. J'ai sélectionné les réflexions suivantes :
L'homme :
"Je crois que, si la littérature du 20ème siècle a évolué, c'est parce qu'on a compris, grâce à des gens comme Gogol ou Pirandello, que le déterminisme psychologique, c'est une connerie. On n'est pas un, mais mille...On peut très bien se réveiller intelligent, être abruti à midi, cynique à 6 heures du soir et romantique à minuit."
La souffrance :
"La souffrance, l'expérimentaton du mal sont toujours enrichissantes. Sinon, on serait heureux à paître comme des vaches dans les prairies suisses."
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