
Il est plutôt recommandé de ne pas être hypersensible quand on découvre la rétrospective consacrée à la photographe Jane Evelyn Atwood actuellement exposée à la Maison Européenne de la photographie dans le Marais. La matière de cette photographe est essentiellement composée de trois ingrédients terribles : la misère, la privation et l'injustice ; l'envers du bonheur en quelque sorte. La série sur les femmes incarcérées suscite la révolte.


Seule peut-être la série sur les aveugles est moins désespérante ; quelques(rares) sourires apportent un peu d'apaisement.
A voir, revoir, méditer.

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