vendredi 3 janvier 2025

Ce matin au kiosque 80 : Musée de la chasse, Edi Dubien, déni climatique, trombones et IA

Point météo : soleil d’hiver éclatant, fond de l’air froid mais pas glacial, vent nul.

C’est la 80eme et j’ai prévu de m’arrêter à 100. Donc, pour les ceusses qui voudraient figurer dans ce futur chef d’œuvre, va falloir faire fissa car il ne reste plus que 20 opportunités pour entrer dans l’histoire littéraire ! 

Today fast visit to the bookshop of the railway station of Bécon les Bruyères. (Je suis obligé de glisser quelques mots dans la langue de Shakespeare afin d’honorer les visiteurs réguliers des pays de langue anglaise).


Il est tellement tard (13H passée) que JM est en train de se faire la malle. Son alter ego de l’après-midi est déjà à poste, comme on dit dans la Marine.

Je reviens de la visite du Musée de la chasse dans le Marais avec comme invité l’artiste Edi Dubien.

J’avise le titre du « Monde » : « 2025, année décisive pour l’action climatique ». Depuis le temps que c’est décisif, l’annonce à un goût d’ultimatum. Mais quelle est la proportion de lecteurs qui en prendra la véritable mesure ? Une infinitésimale. 

Andreas Malm, l’auteur du brûlot (pour Darmanin) « Comment saboter un pipeline », écrit dans son nouvel opus « Avis de tempête - Nature et culture dans un monde qui se réchauffe » : « … la seule chose sensée a faire désormais est de tout abandonner pour mettre fin physiquement à la combustion d’énergies fossiles, dégonfler les pneus, pénétrer sur les pistes de décollage, assiéger les plateformes pétrolières, envahir les mines. » Espérons que nous n’en soyons pas encore là ; mais alors : quoi faire quand le déni est partout ?

J’ai reçu d’un ami physicien de haut niveau une vidéo intitulé « L’horreur existentielle de l’usine à trombones ». Ça dure, hélas, 38’, ce qui parait de nos jours une longueur rédhibitoire pour une vidéo sur YouTube qui traite d’un sujet sérieux ; en l’état : l’IA.

J’ai eu ce « courage » et je ne le regrette pas. Surtout pas : je vais la revisionner et la diffuser.

Je mets le lien dans cette chronique, sans vraiment espérer qu’elle devienne virale, ce qui, pourtant, pourrait être salutaire.

https://youtu.be/ZP7T6WAK3Ow?feature=shared

A demain !

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