Tempête d'après Turner |
La mer tabasse d'écumes mortes
Un ciel de bronze définitif
L'épuisement en horizons subjectifs
La nuit se gonfle bubon d'encre lasse
L'homme précipite en son impasse.
L'abysse en songe et l'atmosphère gisante
Les délices et les amours, des hymens galantes
La haine étreint les membres
L'indicible épuise novembre.
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